Petit dictionnaire des mots rares et anciens de la Langue Française       

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Oaristys : (o-a-ri-stis'), n. f. Titre de la première idylle d'André Chénier, imitée de Théocrite.

Obcordé : ÉE (ob-kor-dé, dée) ou OBCORDIFORME (ob-kor-di-for-m'), adj. Qui a la forme d'un coeur renversé.

Obèle : (o-bè-l'), n. m. Terme d'antiquité. Marque dont les critiques anciens et, en particulier, les critiques alexandrins, notaient les vers d'Homère qui leur semblaient être supposés et ne pas appartenir au poète.

Obérer : (o-bé-ré), v. t. 1° Accabler de dettes. Cette entreprise l'obéra. Les guerres obèrent les nations. 2° S'obérer, v. pr. S'endetter.

Oberon : (o-be-ron), n. m. Dans la féerie et la cabale, le roi des génies de l'air.

Obit : (o-bit'), n. m. Terme de liturgie catholique. Nom donné, dans plusieurs églises, aux messes anniversaires qui se disent pour les morts. Fonder, dire, chanter un obit.

Obituaire : (o-bi-tu-ê-r'), adj. m. Registre obituaire, ou, substantivement, un obituaire, registre où l'on écrit les noms des morts, le jour de leur sépulture, la fondation des obits, etc.

Objurgation : (ob-jur-ga-sion), n. f. Figure de rhétorique par laquelle on adresse à quelqu'un des reproches. Le reproche, l'objurgation, la honte, la vue de l'opprobre.... MARMONTEL.

Oblat :
(o-bla), n. m. Nom qu'on attribuait autrefois aux enfants qui étaient donnés par leurs parents à quelque monastère, et à ceux qui s'y donnaient eux-mêmes, avec leurs biens et quelquefois avec toute leur famille.

Oblation :
(o-bla-sion ; en vers, de quatre syllabes), n. f. 1° Action par laquelle on offre quelque chose à la Divinité 2° Particulièrement. Action du prêtre qui, avant de consacrer le pain et le vin, les offre à Dieu 3° Choses offertes à Dieu 4° Ancien nom de l'hostie.

Obombrer : (o-bon-bré), v. t. Terme mystique. Couvrir d'une ombre.

Obreptice : (o-brè-pti-s'), adj. Terme de chancellerie. Qui a été obtenu en taisant une vérité qui aurait dû être exprimée.

Obsécration : (ob-sé-kra-sion ; en vers, de cinq syllabes), n. f. 1° Terme de rhétorique. Figure par laquelle l'auteur implore l'assistance de Dieu ou de quelque personne. L'obsécration, par laquelle on conjure ses auditeurs au nom de leurs plus chers intérêts, DUMARS 2° Au pl. Chez les Romains, prières publiques pour apaiser les dieux.

Obséquieux :
EUSE (ob-sé-ki-eû, eû-z'), adj. Excessif dans sa complaisance et ses égards. Homme obséquieux. Humeur obséquieuse.

Obsidiane : (ob-si-di-a-n') ou OBSIDIENNE (obsi-di-è-n'), n. f. Verre volcanique qui ressemble à du verre de bouteille ; il raie le verre, se change en émail gris à la chaleur du chalumeau, et fait feu sous le briquet ; la couleur en est verte foncée et noire.

Obsidional : ALE (ob-si-di-o-nal, na-l'), adj. Qui concerne les siéges. Couronne obsidionale, couronne dont les Romains honoraient un général qui avait fait lever le siége d'une ville, ou délivré une armée assiégée.

Obstance : (ob-stan-s'), n. f. Terme de droit canonique. Difficulté qui empêche le pape de faire droit à une demande.

Obvenir : (ob-ve-nir), v. t.  Terme de jurisprudence. Échoir à l'État par succession ou autrement, en parlant de certains biens.

Obvers : (ob-vêr), n. m. Terme de numismatique. Côté de la médaille opposé au revers.

Obvier : (ob-vi-é. Au XVIe siècle, d'après Bèze, on prononçait ovier), v. t.  Prévenir un mal, un inconvénient. Pour obvier à tout scandale, BOSSUET.

Océanide : (o-sé-a-ni-d'), n. f. Nymphe de la mer, fille de l'Océan.

Ocelle : (o-sè-l'), n. m. Petit oeil ; tache arrondie dont le centre est d'une autre couleur que la circonférence. (ailes de papillon, plumes d’oiseau)

Ochlocratie : (o-klo-kra-sie), n. f. Gouvernement de la populace. La démocratie dégénère en ochlocratie, J. J. ROUSSEAU.

Ochracé : ÉE (o-kra-sé, sée), adj. Qui est d'un rouge pâle et mat.

Ocieux : EUSE (o-si-eû, eû-z'), adj. Terme vieilli. Oisif.

Octaples : (o-kta-pl'), n. m. pl. Bible polyglotte à huit colonnes dont Origène est l'auteur.

Octave : (o-kta-v'), n. f. Se dit, parmi les joailliers, de la huitième partie du marc, surtout en parlant des diamants.

Oculi : (o-ku-li), n. m. Terme de liturgie. Le troisième dimanche de carême, dont l'introït commence par ce mot.

Odalisque : (o-da-li-sk'), n. f. Femme esclave du harem impérial attachée au service des femmes du sultan.

Odelette :
(o-de-lè-t'), n. f. Petite ode. Voyez si vous êtes un peu content de la petite odelette pour votre souverain, VOLTAIRE.

Odéon : ou ODÉUM (o-dé-on), n. m. Chez les anciens, édifice destiné à la répétition de la musique qui devait être chantée sur le théâtre.

Oecuménée :
(é-ku-mé-née), n. f. Terme de géographie. Vaste ensemble de terres habitées.

Oeillet : (eu-llè, ll mouillées, et non eu-yè), n. m. Oeillet de marais, ou oeillet de salines, nom donné, sur les côtes occidentales de la Bretagne, à une certaine surface de terrain aplanie et préparée pour faire évaporer l'eau de mer, dont on obtient le sel.

Oenanthique : (è-nan-ti-k'), adj. Qui a rapport à l'arome des vins.

Ogdoade : (ogh-do-a-d'), n. f. Groupe de huit choses ou de huit personnes.

Ogham : (o-gam'), adj.  invar. Écriture ogham, caractère ogham, écriture en usage chez les Celtes irlandais ; elle est formée de petites lignes verticales ou obliques plus ou moins nombreuses, abaissées sur une longue ligne horizontale.

Oing : (ouin ; le g ne se prononce jamais), n. m. Graisse. L'oing, qu'on appelle autrement axonge, est la graisse la plus molle et la plus humide du corps des animaux.

Oison :
(oi-zon), n. m. Fig. et familièrement. Un oison, un homme, une femme sans intelligence, imbécile. Oui, oui, ne souffrons point qu'on nous croie un oison, MOLIÈRE.

Olifant :
(o-li-fan), n. m.  Nom du cor que portait Roland, et, en général, espèce de petit cor que portaient les chevaliers.

Oligarchie : (o-li-gar-chie), n. f. Gouvernement politique où l'autorité est entre les mains de peu de personnes.

Oligotrichie : (o-li-go-tri-kie), n. f. Rareté de cheveux naturelle, sénile ou pathologique.

Olim : (o-lim'), n. m. inv. Anciens registres du parlement. Consulter les olim.

Ollaire : (ol-lè-r'), adj. Pierre ollaire, pierre facile à tailler, dont on fait des pots.

Ombelle :
(on-bè-l'), n. f. Terme de blason. Espèce de parasol que le doge de Venise mettait sur ses armes.

Omble : n. m. Poisson salmonidé appelé aussi saumon des fontaines.

Olographe : (o-lo-gra-f'), adj. Testament holographe, testament écrit en entier de la main du testateur. On dit aussi pièce holographe.

Ombon : (on-bon), n. m. Terme d'archéologie. La bosse centrale d'un bouclier.

Omineux : EUSE (o-mi-neû, neû-z'), adj. Funeste, qui est de mauvais augure (latinisme).

Omphalos : (on-fa-los'), n. m.  Terme d'antiquité grecque. Espèce de cône de pierre, entouré de bandelettes et dévotement arrosé d'huile, qui se dresse auprès du chasma, et sur lequel s'assoit la pythie qui va prophétiser.

Onagre : (o-na-gr'), n. m. 1° Âne sauvage 2° Ancienne machine de guerre pour lancer des pierres.

Onc :
(onk) ou ONQUES (on-k'), adv. Jamais.

Onciaire : (on-si-ê-r'), adj. Terme d'antiquité latine. De la douzième partie d'un tout.

Ondin : INE (on-din, di-n'), n. m. et f. Génie élémentaire des eaux suivant les cabalistes.

Onirocritie : (o-ni-ro-kri-sie), n. f. Art d'interpréter les songes.

Onomasticon : (o-no-ma-sti-kon'), n. m. Titre d'un ouvrage qui a pour but de fixer le sens et l'emploi des mots. Onomasticon de Pollux.

Onomastique : (o-no-ma-sti-k'), adj. Qui a rapport aux noms propres ; qui renferme des noms. Nomenclature onomastique des rois d'Égypte. n. f. L'onomastique, la liste, la doctrine des noms propres.

Ontologie : (on-to-lo-jie), n. f. 1° Théorie de l'être, science de l'être ; c'est en général le synonyme de métaphysique 2° Dans la médecine, la doctrine qui, opposée à la doctrine physiologique, ne rattache pas les phénomènes pathologiques aux phénomènes réguliers de la vie.

Opes : (o-p'), n. m. pl. 1° Terme d'architecture. L'ouverture qui est entre les métopes et qui se trouve remplacée par l'extrémité d'une solive décorée d'un triglyphe 2° Particulièrement. Trous qui reçoivent les poutres, les chevrons, les solives, etc.

Ophidien :
IENNE (o-fi-diin, diè-n'), adj. Terme de zoologie. Qui ressemble à un serpent. N. m. pl. Les ophidiens, troisième ordre de la classe des reptiles.

Ophiolatrie : (o-fi-o-lâ-trie), n. f. Culte des serpents.

Ophiomaque : (o-fi-o-ma-k'), adj. Qui combat, qui détruit les serpents.

Opilation : (o-pi-la-sion), n. f. Obstruction.

Opimes : (o-pi-m'), adj. f. pl. 1° Terme d'antiquité. Dépouilles opimes, celles que remportait un général romain qui avait tué de sa main le général de l'armée ennemie 2° Fig. Dans le langage général, dépouilles opimes, belles dépouilles, belle acquisition, etc.

Opistographe : (o-pi-sto-gra-f'), adj. Terme d'antiquité. Qui est écrit par derrière. Feuillet opisthographe, feuillet écrit ou imprimé sur le recto et sur le verso.

Oppienne : (o-ppi-è-n'), adj. f. Terme de droit romain. Loi oppienne, fameuse, loi romaine contre le luxe et l'excessive dépense des femmes dans leurs habits, portée par Oppius, tribun du peuple, sous les consuls Q. Fabius Maximus et Sempronius Gracchus (215 ans avant Jésus-Christ).

Opprobre :
(o-pro-br'), n. m. 1° Honte profonde, déshonneur extrême 2° L'opprobre de, c'est-à-dire ce qui est une cause de honte 3° État d'abjection.

Oppugnateur : (o-pugh-na-teur), n. m. Mot tiré du latin. Celui qui attaque, qui assiége.

Orain : 
adj. D'or, doré : L'orain Mydas, qui doroit du toucher. (La Curne)

Oral : (o-ral), n. m. Voile ou espèce de coiffe que portaient autrefois les femmes. Grand voile que le pape a sur la tête et les épaules en certaines occasions.

Orbicole : (or-bi-ko-l'), adj. Terme didactique. Qui peut habiter tout point du globe. Il y a des animaux orbicoles et d'autres qui n'abandonnent pas certaines latitudes, LEGOARANT.

Ord : orde (or, or-d'), adj. Terme vieilli. Qui excite le dégoût et pour ainsi dire l'horreur par la saleté. Je ne suis.... Qu'une orde écume de torrent, Qui semble fondre avant que naître, RÉGNIER.

Ordalie :
(or-da-lie), n. f.  Toute épreuve juridique usitée, dans le moyen âge, sous le nom de jugement de Dieu.  Nom qu'on donnait aux cuves dans lesquelles se faisait l'épreuve de l'eau.

Ordo : (or-do), n. m.  Livret qui indique aux ecclésiastiques la manière de réciter l'office du jour. Acheter un ordo.

Oréade : (o-ré-ad'), n. f. Chacune des nymphes qui présidaient aux forêts et aux montagnes.

Orémus :
(o-ré-mus'), n. m. Prière, oraison.

Organdi : (or-gan-di), n. m. Mousseline fort claire.

Organsin :
(or-gan-sin), n. m. Terme de manufacture. Nom qu'on donne à une sorte de soies torses, qu'on a fait passer deux fois par le moulin.

Organeau : (or-ga-nô), n. m. Terme de marine. Anneau de fer auquel on attache un câble.

Orgue : (or-gh'), n. m. Ancien terme de guerre. Machine composée de plusieurs canons de mousquet attachés ensemble. Ancien terme de fortification. Espèce de herse avec laquelle on fermait les portes d'une ville assiégée.

Oribus : (o-ri-bus'), n. m. Chandelle de résine qui, en certaines provinces, se place dans la cheminée.   Fig. Poudre d'oribus, remède sans vertu.

Orides : (o-ri-d'), n. m. Terme de chimie. Famille de corps qui renferme l'or.

Oriel : n. m. Fenêtre en encorbellement sur une façade faisant saillie.

Orière : (o-riè-r'), n. f. Terme rural. Bord des champs entourés de haies et de fossés.

Orin :
(o-rin), n. m.  Terme de marine. Cordage qui attache une ancre à une bouée.

Orle : (or-l'), n. m. 1° Terme d'architecture. Filet sous l'ove d'un chapiteau 2° Contour du cratère d'un volcan 3° Terme de marine. Ourlet qui est autour des voiles.

Ormaie :
(or-mê) ou ORMOIE (or-moî), n. f. Lieu planté d'ormes.

Orobe :
(o-ro-b'), n. f.  Plante légumineuse dont la racine porte des tubercules bons à manger (orobus tuberosus, L.). Orobe jaune, blanche. La farine d'orobe a été mise au nombre des quatre farines résolutives.

Orographie : (o-ro-gra-fie), n. f. Traité, description des montagnes, du relief.

Orpailleur :
(or-pâ-lleur, ll mouillées, et non or-pâ-yeur), n. m. Celui qui recueille, au moyen du lavage, les paillettes d'or qui se trouvent dans le sable des fleuves.

Orpin : (or-pin), n. m. Plante charnue aux vertus astringentes qui croît sur les toits et les murs.

Orphéon :
(or-fé-on), n. m. 1° École de chant établie à Paris, en 1833, par Wilhem, et composée des meilleurs chanteurs des écoles primaires 2° Instrument à cordes et à clavier, dans lequel le son est produit par une roue qui frotte les cordes.

Orseille :
(or-sè-ll', ll mouillées, et non or-sè-ye), n. f. 1° Espèce de lichen qui donne une belle couleur bleue tirant sur le violet 2° Pâte d'un rouge violet, employée en teinture et préparée avec ce lichen.

Ort : (or), adj. inv. Terme de commerce. Peser ort, peser les marchandises avec les emballages. Cette balle pèse cent livres ort.

Orthoépie : (or-to-é-pie), n. f. Terme de grammaire. Bonne prononciation.

Oscille : (o-ssi-l'), n. f. Antiquité. Figurines consacrées à Saturne et mises dans les maisons, les champs, afin d’écarter le mauvais sort.

Oseraie : (o-ze-rê), n. f. Lieu planté d'osiers.

Osmonde :
(o-smon-d'), n. f. Fougère vivace dite aussi fougère aquatique.

Ossec : (o-sèk) ou OSSET (o-sè), n. m. Terme de marine. Endroit bas d'un bâtiment, où se rend l'eau et où est placé le pied des pompes.

Ost :
(ost' ; la tradition de ce mot s'est perdue ; les grammairiens disent de prononcer toutes les lettres ; mais l'ancienne prononciation était ô), n. m.  Du latin hostis, ennemi, puis armée. Service militaire que les vassaux devaient à leur suzerain.

Ostière : (ô-tiè-r'), n. f. Gueux de l'ostière, mendiant qui allait de porte en porte.

Ostiole :
(o-sti-o-l'), n. m. Orifice par lequel se font les échanges gazeux de la feuille.

Otelles : (o-tè-l'), n. f. pl. Terme de blason. Se dit des bouts de fer de piques dont on charge quelquefois l'écu, et que quelques-uns nomment amandes pelées.

Ouaire : (ou-ê-r'), n. m. Une outre.

Oublie :
(ou-blie), n. f. Gaufre mince et légère, roulée en cylindre.

Ouche :
(ou-ch'), n. f. Dans l'Autunois, bonne terre capable de porter toute espèce de produit. Terrain voisin de la maison et planté d'arbres fruitiers.

Oudenarde : (ou-de-nar-d'), n. f. Sorte de tapisserie.

Oue : (oue), n. f. Vieux mot pour oie. Le proverbe est bon, selon moi, Que qui l'oue a mangé du roi, Cent ans après en rend les plumes, LA FONTAINE.

Ouiller : (ou-llé, ll mouillées), v. t.  Ajouter du vin de même origine à celui qui a diminué dans les tonneaux par l'évaporation et l'extravasement de l'écume lors de la fermentation.

Ource : (our-s'), n. f. Ancien terme de marine du Levant. La main gauche, ce qui s'appelle sur l'Océan bâbord.

Ouvreau : (ou-vrô), n. m. 1° Terme de verrerie. Nom donné à l'ouverture du four surbaissé ou carcaisse dans lequel la glace faite doit aller se recuire 2° Terme de métallurgie. Nom donné aux canaux pratiqués dans les meules de carbonisation pour y attirer l'air et y activer la combustion.

Ouvrée : (ou-vrée), n. f.  Terme rural. S’est dit de l’étendue de terre qu’un homme peut labourer en un jour.

Ovate : n. m. Prêtre gaulois entre druide et barde dans la hiérarchie druidique.

Ove :
(o-v'), n. m.  Terme d'architecture, d'orfévrerie, etc. Ornement taillé en forme d'oeuf. On fait aussi des oves en forme de coeur.

Oxymel :
(o-ksi-mèl), n. m. Mélange d'eau, de miel et de vinaigre. On en fait des gargarismes.

Oxymore : (o-ksi-mo-r’), n. f. Forme d’antithèse qui unit en un syntagme deux termes en principe contradictoires. Cette obscure clarté qui tombe des étoiles, CORNEILLE.

Oyat : (o-ia), n. f. Nom vulgaire du roseau des sables.

 

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